sophrologie et cancer


« Peux-tu t’imaginer guéri ? Peux-tu transposer ton être malade en être guéri ? Peux-tu, oses-tu devenir l’hyper créatif de toi-même ? » Bertrand Vergely

Une personne « malade » change de statut. D'une personne autonome, elle devient un objet de soins au  niveau de la famille et elle doit confier son "corps", son avenir au "corps" médical. L'équilibre est perturbé entre compassion, prise en charge et rejet de ce qui fait peur.

Les traitements sont lourds, invalidants alors que la maladie n'entraîne pas forcément de symptômes pénibles. Ce sont les traitements qui la rendent malade.

La sophrologie va permettre de retrouver sa dimension d'individu.

 

 

La peur est toujours présente depuis l’annonce de la maladie et souvent bien après la guérison,  même si celle-ci est confirmée.

La confrontation à la mort est inévitable et même si de nos jours les statistiques montrent un taux de guérison important, notre imagination est très puissante, beaucoup plus que nous pouvons l’envisager.

Ce que nous pouvons affirmer, nous, sophrologues (entre autres), c’est que notre biologie ne fait pas la différence entre le réel et l’imaginaire.

La sophrologie nous apprend à somatiser du positif. 

Cette vision a un impact important sur la guérison.